Déphasage

Non, âme déphasée = âme sortie du domaine des éternités donc des immortels, soit pour chuter soit pour descendre vers le domaine des temporalités donc des mortels.

La métaphysique = négatif imparfait variable pouvant être utile (quand cela conduit vers l'âme et les lois universelles) ou néfaste (quand cela conduit vers l'égo et les lois causales).
l'âme = positif parfait toujours utile, indestructible, immortelle, permet de passer de la matière à la lumière en cas de perfection constante.

Quand l'être prononce ou pense une erreur celui-ci déclenche un déphasage entre la métaphysique et l'âme ce qui déclenche un vacillement, un assombrissement des yeux etc, le déphasage est une sorte de court-circuit entre la métaphysique et l'âme, quand nous sommes véridiques aucun déphasage puisque la métaphysique est accordée avec l'âme qui nous sert de référentiel, quand nous déphasons, nous produisons une énergie bio-électrique https://fr.wikipedia.org/wiki/Bioelectromagnetisme qui est différente entre la métaphysique et l'âme ce qui produit un court-circuit rendu visible par les vacillements et les instabilités physiques et mentales, soit nous accordons métaphysique et âme soit nous désaccordons métaphysique et âme, les deux ne produisent pas les mêmes réactifs spasmodiques.

Vous devriez éviter de songer vous provoquez irrémédiablement des déphasages entre la réalité observable et l'imaginaire née de vos songes.

La perfection consiste à l'accord parfait avec l'Éternel donc avec l'âme qui est en nous demandant des efforts de la métaphysique, donc de notre comportement biologique afin que celui-ci soit en phase constante avec la réalité des faits observables, tout les décalages conduisent aux dérèglements puis à la mort, sans dérèglement l'âme prend le dessus sur la métaphysique nous évitant ainsi la mort.

Vous en avez oublié des chose depuis votre séjour terrestre qui se prolonge il est vrai avec acharnement.

c'est pourtant écrit là :

Épitre de Jacques 1 - 1:15 Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché; et le péché, étant consommé, produit la mort.

Sans péchés, point de mort.