jeudi 29 septembre 2016

La puissance

Discerner le bien du mal pour ne pas dégénérer par le mal qui est un avilissant biologique, mal parler, manquer de justesse, de véracité, de certitudes, jouer d'approximations sur les faits existentiels revient à se détruire progressivement sous les impulsions électromagnétiques négatives donc dégénératives.

Le bien est sans limite, le mal a comme limite la mort, puis la séparation de l'âme du corps physique, c'est à dire ressusciter, s'en suit une rédemption, c'est à dire la séparation par notre Dieu personnel de la métaphysique et de l'âme, cela entraine une résurrection toujours aidé de notre Dieu personnel qui permet à l'âme de retrouver sa puissance éternelle, le mort a des devoir dans la temporalité car il laisse des empreintes métaphysiques incorporées dans le flux des énergies métaphysiques formant un ensemble regroupant toutes les charges métaphysiques en fonction du temps passé avec d'autres individus.

La diversité des points de vues est comme la diversité des maladies, autant de chemins individuels forgés par l'égocentrisme des idées irréalisables sur le long terme, l'égo est une déviance de la raison et de la logique immuable qui emprisonne l'âme dans un corps physique accrochée aux pulsions métaphysiques générées par l'individu qui accorde de l'importance aux futilités charnelles, aux passions terrestres, aux limitations d'espace temps induits par les seules connaissances approximatives terrestre, le corps biologique est aussi un formidable formateur d'évolution de l'âme ou de la métaphysique quand celle-ci est nécessaire pour faire évoluer la raison chez les faibles enfermés dans les ténèbres éclairés par un astre brillant.

La biologie du corps physique peut ce passer de métaphysique pour emprunter que le chemin de l'âme qui ne dégénère pas l'apparence physique, au contraire, il la sublime, l'embelli, l'améliore, la perfectionne, il est aussi possible de sublimer la métaphysique, mais il faut impérativement retrouver un chemin de perfectionnement vers le chemin de l'âme, sublimer les horreurs vous approche des gens qui veulent vous raccourcir les fonctions en limitant les catastrophes le plus possible, tous les chemins sont orientés vers l'amélioration, ceux voulant faire le mal croyant en son utilitarisme trouve sur leur chemin des gens qui feront tout ce qui est dans leurs connaissances pour réduire leurs nuisances au maximum.

Quand les êtres sont arrivés à la plénitude de leur force, ils vieillissent.
Cela s'appelle ne pas imiter le Tao.
Celui qui n'imite pas le Tao ne tarde pas à périr.

La force est un palliatif aux manques de puissances, un acte de force est un acte primitif, simple, très limité, qui par force personnelle physique pourrait seul combattre des milliers de gens agressifs, personne, la force est un atout de bastons, de faible, impossible de faire évoluer la force basique des membres et donc des muscles sur le long terme, elle décline faute de possibilité objective dans l'évolution constante des actes de force, la force est effective accompagnée de la puissance de Dieu qui est dans notre âme seul moyen de perdurer sur le long terme sans voir décliner la force physique.

Pratiquer le mal revient à détruire sa voiture en l'utilisant n'importe comment hors des conditions normales d'utilisation recommandées par le constructeur, sortir des lois universelles c'est pareil, cela ruine et endette le fautif qui s'enfonce progressivement dans les considérations dangereuses par le simple fait de pratiquer des actes, des pensées, des paroles fautives.

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